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Par bruno 49 le 5 Mars 2011 à 17:28
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Dans ce matin d'hiver, le château ressemblerait presque'à un
temple incas (en haut à droite)
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Le Comte
Charles Thoinney de la Turmelière
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Plafond de la chapelle de la demeure de
Joachim du Bellay
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Un petit tour du Château
Majestueux et un peu prétentieux avec ses nombreuses sculptures,
mais le maître des lieux devait y être aussi!
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Devant le château un très beau parc avec une pièce d'eau
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La verrière qui domine toute la vallée.
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Les hautes cheminées
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Les nombreuses ouvertures surchargées de scluptures
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Le hall d'entrée, très accueillant, avec cette très belle cheminée,
son grand escalier, et une autre porte donnant directement
sur la terrasse du château.
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Visite de la première salle, que j'appellerai la salle des armoiries.
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Un des sonnets les plus connus, le sonnet 31 de Joachim Du Bellay
écrit en vieux Français est fixé sur un des murs de la salle.
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Salle que j'appellerai, les 4 saisons.
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Vue sur l'arrière du château
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Le fils unique du Comte, Pierre, sera jusqu'à sa mort conseiller général d'Ancenis.
Il profite de la fortune de ses parents et comme eux, passe son temps entre Paris
et la Turmelière. A sa mort, le château est vendu à un riche commerçant nantais,
Monsieur Brossier, qui vient y passer ses vacances en famille.
En 1940, le château est réquisitionné par les allemands
et il sera récupéré fortement endommagé.
A la fin de la guerre, il est racheté par la
Fédération des Amicales Laïque pour en faire un centre d'éducation (FLA44).
Devenu IRP en 1982 (Institut de rééducation et de phsychotérapie )
Jean Baptiste Daviais.
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En entrant dans le château, sur votre gauche le buste d'un homme
Jean Baptiste Daviais
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Un des fondateur des amicales laïques de Loire Atlantique, mais,
aussi un humaniste et un résistant.
S'intéressant aux personnes en difficultés et principalement aux enfants
malheureux, il ouvre un centre d'accueil, impasse Saint-Laurent
proche de la cathédrale, dans une vieille maison inoccupée,
pour y héberger les réfugiés belges et français du Nord
lors de la débâcle de 1940 et de l'exode qui s'ensuivit.
Soixante à quatre-vingts personnes y trouvent chaque jour le gîte et le couvert.
Lorsque la place manque, il accueille le surnombre dans sa propre maison.
Les mouvements de Résistance font appel à lui et la confiance qu'il inspire en fait bientôt un chef.
Son équipe passe au service du mouvement Libération fondé par
Emmanuel d'Astier de la Vigerie, auquel il apporte un concours inestimable.
Désigné comme futur maire de Nantes lors de la constitution du Comité départemental de libération, il héberge des juifs traqués et des réfractaires
et leur fournit papiers, argent et lieux de travail.
Après les aveux d'un jeune militant sous la torture, tous les militants du CDL sont arrêtés le 17 avril 1944.
Torturé à Angers, Jean-Baptiste Daviais sera transféré à Compiègne le 9 juin 1944, puis à Dachau.
Son camarade Gabriel Goudy relatera, après la libération du camp,
le 29 avril 1945, les circonstances de la disparition de Jean-Baptiste :
Le 7 janvier 1945, contraint de rester nu dans le neige au
sortir de la douche. Il fut frappé de congestion et mourut
deux jours plus tard. Il avait 67 ans
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En 1988 la mairie de Liré, récupère
la propriété des ruines du château.
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Le château sert maintenant, à des colloques, mariages etc..
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Au fil des années d'autres bâtiments ses sont construits autour du parc
Centre de loisir pour les jeunes - club de poney.
l'IRP est logé dans d'autres bâtiments
et la ferme pédagogique l'Ouche Babin y tient bonne place.
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Par bruno 49 le 5 Mars 2011 à 11:58
Ces images ne sont pas libres de droits
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Au Domaine de la Turmelière vous y trouverez, deux châteaux.
Le plus ancien , en ruine et ayant appartenu à la famille Du Bellay
Le plus récent datant de 1886, ayant appartenu à la famille de la Turmelière.
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Il ne reste que peu de murs de cette ancienne forteresse.
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Les douves étaient beaucoup plus profondes.
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Diamètre du pigeonnier 6 mètres.
possède une entrée unique.
Ce bâtiment est couronné par une corniche à double assises en
pierre de tuffeaux que couvre une toiture d'ardoises en poivrière.
Le lanterneau servait à faciliter l'envol des pigeons.
Une raidière (Bordure de toit avancé) empêche les
prédateurs de pénétrer dans les nichoirs.
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Peut-être admirait-il sa campagne Angevine, de cette fenêtre
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La vallée du Douet
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Montait-il par cet escalier
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Cette cheminée, fut très certainement restaurée au XIXème siècle
en l'honneur du sonnet
"Quand reverrais je, hélas de mon petit village fumée la cheminée"
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